jeudi 18 juin 2009

NOS DEPUTES EUROPEENS




Région Grand-Est : Nathalie Griesbeck (Jean-François Kahn démissionnaire)



Région : Sud-Est : Jean-Luc Bennahmias






Région Sud-Ouest : Robert Rochefort





Région Ouest : Sylvie Goulard



Région Nord-Ouest : Corinne Lepage






Région Ile de France : Marielle De Sarnez



Résultats Grand-Est : 9,43%
Bourgogne : 8,76%
Côte d'or 9,73% - Nièvre 7.86 % - Saône et Loire 8,23% - Yonne 8,80%
Beaune : 10,14%
Dijon : 9.83%

Montbard : 10,98%

"Merci" Jean-François KAHN


Paris, le 17 juin 2009
Chers amis,
Je suis un peu triste, bien sûr, que nous n’ayons pas pu réaliser le score que nous espérions.
Cependant, grâce à vous, à vous tous, à votre dévouement, à votre engagement, nous avons réalisé, je crois, une belle campagne et on vous doit, Nathalie et moi, d’avoir tout de même obtenu le meilleur résultat national.
Je n’oublierai jamais le beau moment d’amitié, de fraternité que nous avons vécu, la richesse des rapports humains qui se sont noués.
Le souvenir du combat, au nom de valeurs communes, qui nous a réuni, restera ancré dans mon cœur.
Nous ne devons pas abandonner. On se reverra, évidemment !
Avec toute ma sympathie,
Jean-François KAHN

"Merci" Nathalie Griesbeck


Chers Amis,
Au lendemain de la campagne que nous avons menée depuis janvier en équipe avec vous et avec Jean-François et Yann, je tiens à vous dire du fond du cœur un grand merci pour votre détermination et votre engagement à nos côtés. Mais je veux ici en tout premier lieu remercier très chaleureusement, en mon nom personnel comme au nom de chacune et chacun d’entre vous, Jean-François Kahn.

Grâce à cette campagne, beaucoup l’ont découvert sous un jour nouveau, au fil des difficultés et des surprises de cette aventure que nous avons vécue en commun. C’est un homme remarquable qui jette sur le monde et les êtres un regard à la fois vif, lucide, attentif, profondément original, et en même temps amusé, volontiers émerveillé, qui a conservé quelque chose de la fraîcheur de l’enfance. Cette capacité intacte d’étonnement et souvent d’admiration est elle-même admirable. C’est ainsi que je garde en mémoire, de ces jours passés à sillonner ensemble – souvent avec la complicité de notre directeur de campagne si actif, Gérard Faivre, et de son fidèle complice Gilles, ou de Yann Wehrling et de tel autre de nos colistiers - les routes de Bourgogne comme de Lorraine ou de Cham pagne, de Franche-Comté et d’Alsace, un peu à l’image d’un cirque chinois, plus particulièrement deux moments : son émerveillement, oui, son bonheur et son émotion devant le chef-d’œuvre de Ligier Richier à Saint-Mihiel, et son rire inextinguible devant une blanquette de veau à l’ancienne (sic !) proposée aimablement par un distributeur automatique dans une station-service de la Haute-Marne, tout à fait digne, par son comique involontaire, de l’Aile ou la Cuisse.

Plus sérieusement, Jean-François possède aussi la qualité si peu répandue de n’avoir qu’une parole. Et de la respecter. C’est suffisamment rare pour être souligné. Contrairement à ce qu’on a pu voir ou lire ici ou là, il n’a cessé d’affirmer depuis le début de notre campagne en duo, qu’il voulait que nous formions un tandem pour obtenir au moins deux sièges en faveur du MoDem, voire trois, mais que si par malheur nous n’en obtenions qu’un, il ferait en sorte que je continue à travailler au Parlement européen pour y défendre nos valeurs et soutenir les actions que nous voulons voir triompher en Europe. Il n’a cessé de le dire et de le redire. Et il vient de le faire en en tirant les conséquences dès le soir du scrutin.

A l’issue de cette campagne que, dans le Grand Est, nous avons menée avec détermination et voulue proprement de terrain sans cesser de parler toujours et encore de l’Europe, de son action et de son avenir, les résultats ont été globalement, pour notre mouvement, plus que surprenants. Mais nous avons du moins la satisfaction de voir notre circonscription de l’Est donner à notre liste près de 9,5 % des voix, soit le meilleur résultat en faveur du Mouvement Démocrate pour toute la France.

En vous redisant combien je vous suis, à toutes et à tous, très profondément reconnaissante de vos efforts, de vos encouragements comme de votre soutien, je vous assure de ma détermination entière à défendre partout, et en premier lieu au Parlement européen, avec force nos valeurs humanistes de liberté, de démocratie et de respect de l’Homme. Mais bien évidemment ici encore, rien n'est possible sans vous, sans vos propositions, sans votre action, sans votre aide. Je compte sur vous !

Très amicalement.

Nathalie Griesbeck

Interview de Jean-Luc BENNAHMIAS sur le Figaro.fr


Bennahmias : «Je n'irai pas au gouvernement»Jérôme Bouin (lefigaro.fr)
13/06/2009

«Aucun député européen du MoDem ne votera pour M. Barroso», affirme Jean-Luc Bennahmias.
VIDÉO - Invité de Parlons Net, le vice-président du MoDem se dit surpris d'entendre son nom cité. Par ailleurs, selon lui, aucun eurodéputé MoDem ne votera en faveur de la reconduction de Jose Manuel Barroso à la Commission européenne.

Juste une mise au point. Alors que, depuis le début de la semaine, son nom est régulièrement cité comme possible nouvel entrant au gouvernement lors d'un remaniement, Jean-Luc Bennahmias dément. Il l'a dit vendredi lors de l'émission Parlons Net sur France Info, dont le figaro.fr est partenaire (avec cette semaine rue 89.com et marianne2.fr). Pour l'eurodéputé, également vice-président du MoDem, il n'est tout simplement pas question d'entrer dans l'équipe Fillon, «en aucun cas», a-t-il ajouté. «D'abord parce qu'on ne me l'a pas demandé» et parce que, explique-t-il, ce qui motive son engagement au MoDem c'est la constitution d'une «majorité alternative au gouvernement». Jean-Luc Bennahmias s'est simplement déclaré «surpris» de voir son nom cité. Il dit avoir ensuite décidé d'attendre «pour voir comment ça se passe» à l'Élysée comme dans les médias, avant de finalement mettre fin au suspense vendredi.
Regardez l'intégralité de l'émission (Jean-Luc Benhamias nie toute entrée au gouvernement dès les premières secondes) :

Jean-Luc Bennahmias qui avait quitté les Verts pour le MoDem ne regrette pas son choix, même au lendemain d'élections européennes décevantes pour son parti. Il avoue d'ailleurs son pessimisme sur l'avenir électoral du rassemblement Europe Ecologie. Sur l'organisation interne au MoDem, il se dit en désaccord avec Corinne Lepage. La présidente de Cap 21, mouvement associé au MoDem, avait demandé davantage de collégialité dans le parti. Jean-Luc Bennahmias rappelle de son côté que le MoDem possède avec François Bayrou un leader naturel, capable de gagner une élection présidentielle. «Ça, ça m'intéresse», ajoute-t-il.
Revenant sur l'altercation Bayrou/Cohn-Bendit, il affirme que Daniel Cohn-Bendit a menti quand, dans Libération, il affirmait avoir été prévenu par un proche de Bayrou (Christophe Madrolle, également proche de Bennahamias, ndlr) des intentions du patron du MoDem de s'attaquer au leader d'Europe Ecologie.
Interrogé sur le positionnement du groupe libéraux-démocrates au Parlement européen vis à-vis d'une possible reconduction de Jose Manuel Barroso à la tête de la Commission, Jean-Luc Bennahmias affirme, catégorique : «Il est hors de question qu'un seul député européen du MoDem vote pour M. Barroso».

Retrouvez l'intégralité de l'émission sur le Figaro.fr (un régal !)

vendredi 5 juin 2009

MEETING DE DIJON





Remettre l’Homme au cœur du dispositif
Jean-François Kahn et Nathalie Griesbeck ont tenu une réunion publique jeudi 29 mai à Dijon devant une salle comble.
Ils ont pu une nouvelle fois expliquer le projet du Mouvement Démocrate, visant à faire de la politique autrement en fondant leur projet politique sur l’impérieuse obligation de replacer l’Homme au cœur de toutes décisions.
Sensibles aux valeurs que l’Europe entend protéger, Jean-François Kahn et Nathalie Griesbeck ont dénoncé la succession de discours du Président de la République, de plus en plus sécuritaires, à quelques jours des élections. “Il n’est pas bon de vouloir effrayer nos concitoyens de la sorte; mais ils ne sont pas dupes et connaissent désormais la propension de Nicolas Sarkozy à se montrer en spectacle”, a expliqué Nathalie Griesbeck à la sortie de la réunion.
Et Jean-François Kahn de rappeler que “les citoyens attendent de l’Europe qu’elle apporte des réponses concrètes sur le fonctionnement de l’Union européenne, la suppression du droit de véto au Conseil, l’harmonisation fiscale et sociale, des mesures contre le réchauffement climatique, une alimentation de qualité sans OGM. C’est de ça que les Français souhaite qu’on leur parle !! “